Affiche de 1918 de l’imprimerie Berger-Lavrault qui représente un cavalier spahi. Le texte de l’affiche, encadré de palmiers et cactus :
Ce que nous devons à nos colonies.
« Avant la guerre, tout le monde ne comprenait pas la nécessité pour la France de colonies ou de terres de protectorat.
Nous savons tous maintenant ce que nous devons aux milliers de volontaires indigènes qui ont combattu pour la France bien-aimée avec autant de courage que les Français eux-mêmes, ou qui ont rendu à l’arrière les plus précieux services.
Nous savons tous en quelles prodigieuses quantités nos possessions d’Afrique, d’Asie, d’Amérique, d’Océanie nous ont envoyé leurs productions : sans elles, notre ravitaillement eût été beaucoup plus difficile.
Dans l’effort commun grandira encore l’affection commune. »